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5 commentaires:
Dans la saga "CAD", le 4ème volet de la série dont il est rappelé ci-aprés les 3 premiers épisodes.
"UAPE"
résumé : chauffer à distance un bâtiment public avec une pompe à chaleur in situ, selon le dossier de mise à l'enquête publique.
"REFILE-MOI 1.50 MILLIONS
résumé : montant exigé par Satom pour les conduites à la rue des Raffineries. Le parti majoritaire a convoqué ses troupes pour refuser la proposition citoyenne d'inclure ce périmètre dans la zone à raccorder.
"LA DEFONCE"
résumé : zone 30 km/h - coordination des investissements entre 2 entités de droit public, par Edi Blatter, directeur Satom et Josiane Granger, présidente de commune, master en administration et management public.
Et maintenant en avant-première :
"RIEN VU, RIEN ENTENDU, RIEN DIT"
avec les acteurs du PDC local, ayant tous suivis les cours de la très renommée académie "Voir loin, faire juste..."
Josiane Granger, présidente de commune, finances et infrastructures
Yannick Buttet, énergie
Jean-Pierre Veuthey, constructions
et en guest star, Bruno Turin, aménagement du territoire
A la réalisation Gérard Parvex, sécrétaire communal.
Le producteur, Antoine Lattion, n'a pu participé à ce tournage, occupé qu'il est à l'écriture du scénario de la prochaine saga "ELECTIONS COMMUNALES 2013" où nous pourrions assister à la disparition, soudaine, accidentelle et tragique de l'héroïne principale.
Un critique cinématographique avisé et introduit qui attend avec impatience le festival "Orange" de décembre avec sa fameuse montée des marches jonchées de peaux de banane.
Le chauffage a distance n'est pas un problème en soit ...
Mais, honnêtement, le bureau d'étude qui a fait le tracé mis à l'enquête n'a pas brillé !!
En général on se renseigne avant. Quant à défoncer par la suite la moitié su village sans en avoir l'autorisation c'est vraiment du n'importe quoi !
De la part de la commune, si, et j'en doute fortement, la présidente et consort n'étaient pas au courant (sic !), il faut vraiment que ces gens changent de métier.
Scandaleux et inadmissible
Parfaitement.
De nouveau, la commune fait "la une" du Nouvelliste et son image est écornée. Quel discrédit, une fois de plus, pour nos autorités.
La Satom appartient aux communes vaudoises et valaisannes.
Dans ces conditions, ne pas respecter les procédures et la loi est tout simplement honteux.
La commune de Collombey-Muraz se doit d'intervenir auprès du Conseil d'administration de la société en tant qu'actionnaire (assemblée générale = pouvoir suprême) afin que le directeur, M. Edi Blatter, soit sanctionné comme il se doit pour cette faute grave.
Quant à l'attitude passive de l'administration communale, elle ne surpendra personne pour qui connaît son mode de fonctionnement et se passe de tout commentaire.
Cherryl Clivaz
Pour la petite histoire, Edi Blatter voulait régler le cas à l'amiable avec les cosignataires du chemin de Chenevière en leur proposant de leur offrir un souper à la fin des travaux !.
Malheureusement, ceux-ci n'avaient aucunement l'envie de partager un repas avec quelqu'un qui ne respecte pas les procédures démocratiques et encore moins les décisions de l'autorité de tutuelle de la Satom, qui est l'Etat du Valais.
Une telle attitude mérite de la part du Conseil d'administration de la Satom un blâme envers M.Blatter voir un licenciement pour faute professionnelle grave qui engendrent des coûts supplémentaires importants et non nécessaires au projet de thermoréseau.
Un des insurgés de la rue de Chenevière.
Tout ceci n'est pas joli...
Monsieur le Directeur a peut-être eu l'accord des administrateurs.
Dans tous les cas, des têtes doivent tomber.
Bravo aux insurgés pour avoir oser s'opposer.
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